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Le design est une discipline visant à représenter concrètement, une pensée, un concept ou une intention en tenant compte éventuellement d'une ou des contraintes fonctionnelles, structurelles, esthétiques, didactiques, symboliques, techniques et productives. Ces représentations peuvent être tangibles ou virtuelles.
Etymologie et évolution
À la Renaissance, disegno (en italien) est l'un des concepts majeurs de la théorie de l'art. Il signifie à la fois dessin et projet. Au XVIIe siècle en France, les théoriciens de l'art le traduisent par dessein et conservent le double sens (l'idée et sa représentation).
En 1712, Shaftesbury introduit dans la théorie anglaise de l'art le concept de design fidèle au sens de disegno. Ainsi, nous avons drawing pour le dessin en tant que tracé et design signifiant l'idée et sa représentation, le projet et son graphisme.
Néanmoins, ce double sens de design va se disjoindre rapidement pour suivre les théories de l'art dominantes de l'époque. Car c'est en 1750 en France que la distinction apparaît pour donner deux champs sémantiques distincts, celui du dessin (la pratique) et du dessein (l'idée) marquant une rupture fondamentale qui n'est pas sans rappeler la dualité matière/esprit de Descartes. À l'Académie royale de peinture et de sculpture, on enseigne désormais les arts du dessin et non plus du dessein.
C'est seulement au début du XXe siècle, alors en plein essor de l'industrialisation, que l'on assiste à l'émergence internationale du terme design dans le sens de disegno, c'est-à-dire, la conception et la mise en forme. Cette définition moderne se concrétise dans le travail effectué au Bauhaus.
Aussi, le design est souvent confondu avec le stylisme d'objet lorsque l'exercice consiste à embellir un objet dans le but de séduire des consommateurs. D'ailleurs, en 1994, le ministre de la Culture français Jacques Toubon présente un projet de loi pour remplacer l'anglicisme design par stylique, provoquant par là même l'incrédulité et les moqueries de la presse française, notamment Le Nouvel Observateur. La loi Toubon sera fortement édulcorée dans son application, par le Conseil constitutionnel et cette disposition concernant le mot design, caduque.
Sollicité par le marketing depuis les années 2000, ce mot est peu à peu devenu un argument publicitaire. Design a pris un sens d'adjectif qualificatif signifiant un style aux formes simples et une apparence épurée. ex : une lampe design. Il succède ainsi au style rustique des années 1990.
Des définitions multiples
Il n'existe pas de définition unique du design. Son sens varie selon les époques, les cultures et les individus. C'est cette complexité qui le caractérise. En dehors des interprétations variées selon les cultures, le design peut se concevoir soit comme un art appliqué (exécution créative), soit comme une discipline autonome (dans la pratique et la théorie).
Pour les Anglo-Saxons, le design est davantage une conception, une idée, une intention ou un projet[réf. nécessaire]. En français[réf. nécessaire], c'est une recherche d'harmonie entre les formes et les fonctions de l'objet. En Italie et en Allemagne[réf. nécessaire], le design est nettement plus stratégique puisque l'industrie et l'artisanat de qualité en ont fait leurs credo pour valoriser leurs productions.
Histoire
chaise Thonet n°14, 1859
Naissance du design
Dans un contexte d'une industrie émergente à partir de 1850, Michael Thonet développe un procédé de fabrication révolutionnaire, le cintrage de bois laminé, courbé sous pression à vapeur. Sa chaise « nº 14 » devient une référence, vendue à quarante millions d´exemplaires entre les années 1859 et 1914.
En 1888, Arts & Crafts naît de l'association du critique d'art John Ruskin et de l'écrivain, peintre, décorateur et théoricien William Morris. Morris et ses amis veulent créer des formes nouvelles en accord avec la fonction des objets et prônent paradoxalement le retour au Moyen Âge et aux formes inspirées par la nature. Ils souhaitent rapprocher le concepteur et le destinataire du produit par la mise en place d'ateliers car ils dénoncent le côté aliénant et inhumain de l'industrie. William Morris défend le bel ouvrage et le travail artisanal du compagnonnage et l'oppose au produit industriel de qualité médiocre. Bien que très contesté, William Morris apparaît encore comme une figure fondatrice du design.
Dès 1902, Peter Behrens réalise le premier design industriel global pour AEG : l'usine des turbines, des objets électriques, le logo, etc. En 1911, Josef Hoffmann achève le palais Stoclet, fabuleuse villa urbaine conçue comme une œuvre d'art totale pour le compte d'un financier belge. Charles Rennie Mackintosh et Frank Lloyd Wright, à la même époque, posent les bases des lignes épurées et simplifiées qui vont devenir le synonyme de « design », en construisant villas et mobilier pour la bourgeoisie américaine ou écossaise avide de nouveautés.
Modernisme conservation Dans son livre 100 ans de design, Penny Sparke crée cet oxymore à propos de ces grands artistes de l'entre-deux-guerres, certes producteurs de lignes épurées et adeptes du modernisme, mais qui ne sont pas, pas plus hier qu'aujourd'hui, considérés comme des designers. Ce qui les rassemblent ? Ils créent des pièces uniques mariant des matériaux modernes et matières luxueuses traditionnelles, pour une clientèle richissime.
Citons parmi ces modernistes conservatifs largement célébrés lors de l'Exposition des Arts Décoratifs, les décorateurs-ensembliers français Jacques-Émile Ruhlmann et Jean Dunand, ce dernier surtout célèbre pour ses laques, ou Eileen Gray, Anglaise active essentiellement à Paris. Ailleurs, l'Autrichien Josef Frank ou l'Américaine Sylvie Maugham font, dans leurs pays respectifs, envie aux classes moyennes qui voient dans les premiers magazines de décoration, leurs réalisations.
Le fonctionnalisme
Le fonctionnalisme est une doctrine esthétique qui peut se résumer par la célèbre expression de Louis Sullivan, « la forme suit la fonction ». Né à la fin du XIXe siècle, il engendre l'école de Chicago, puis le Deutscher Werkbund, les Wiener Werkstätte ainsi que le Bauhaus. Pour Louis Sullivan, le fonctionnalisme est le résultat d'une observation et d'une compréhension des processus évolutionnistes de la nature. Chaque forme à une nécessité, il n'y a pas de superflu dans la nature bien qu'elle soit « séduisante ».
Bien que le concept fonctionnaliste paraisse très simple, il y a eu beaucoup de divergence sur les interprétations et en particulier sur la définition de la fonction. C'est ainsi que rationalistes (« la fonction, c'est ce qui est utile ») et expressionnistes (« les émotions sont aussi une fonction ») se revendiquent également fonctionnalistes.
Le fonctionnalisme domine le design moderne jusqu'à sa remise en cause par certains post-modernes à partir de 1968.
Le Bauhaus et les années 1920
La Cuisine de Francfort, 1926
En 1919, Walter Gropius, dans le Manifeste du Bauhaus, annonce le but de ce mouvement en ces termes : « Le but final de toute activité plastique est la construction ! Architectes, sculpteurs, peintres ; nous devons tous revenir au travail artisanal, parce qu'il n'y a pas d'art professionnel. Il n'existe aucune différence essentielle entre l'artiste et l'artisan. Voulons, concevons et créons ensemble la nouvelle construction de l'avenir, qui embrassera tout en une seule forme : urbanisme, sans cesser d’appartenir à l’architecture dont l’échelle d’intervention varie de l’élément de mobilier, de construction ou de décor, jusqu’à la ville entière.
L’architecture désigne également le corpus de tous les édifices construits, leur classification et leur étude, qu’ils aient été conçus par des architectes ou non.
Par extension, le terme d’architecture est utilisé pour désigner la conception des systèmes d’objets complexes, comme par exemple l’architecture logicielle et l’architecture informatique. Dans ce cas, on fait référence à la structure générale du système.
">architecture, art plastique et peinture » Le Bauhaus a été une formidable pépinière de talents et un extraordinaire outil de la promotion d'un modernisme « progressiste » qui, contrairement au modernisme conservatif, n'hésite pas à mettre les mains dans le camboui de la production de masse.
Citons, parmi les designers de premiers plans qui relèvent ou se réclament de ce mouvement moderniste, Ludwig Mies van der Rohe, Marianne Brandt, Marcel Breuer, Le Corbusier et Charlotte Perriand, le néerlandais Gerrit Rietveld, auteur d'une célébrissime chaise cubiste. Les régimes totalitaires (rappelons que l'un des premiers gestes des nazis une fois arrivés au pouvoir, est de fermer le Bauhaus) ne sont pas antithétique avec le design : Giuseppe Terragni pour l'Italie, Lazar Markovich Lissitzky et Alexandre Rodtchenko pour la Russie, illustrent le versant « social » du design : offrir des beaux objets au plus grand nombre de consommateurs possibles.
Plus au nord, la Scandinavie fait preuve d'un extraordinaire regain de créativité illustré par Alvar Aalto en Finlande et Bruno Mathsson ou Wilhelm Kage en Norvège.
Grande crise et années 1930
Avec les années 1930, la créativité et la théorisation du design traversent l'Atlantique. Raymond Loewy écrit « la laideur se vend mal » et propose de donner une valeur esthétique et symbolique forte aux objets manufacturés pour relancer l'économie. Outre la Cadillac, la bouteille pour Coca-Cola, il dessine aussi le paquet de cigarettes des Lucky Strike et fait apparaître la marque déposée et le logo publicitaire sur les deux faces du paquet. La marque sera identifiable sur tous les paquets jetés dans la rue.
Loewy n'est pas isolé, Walter Dorwin Teague, Wells Coates, Russel Wright ou Henry Dreyfuss représentent cette créativité américaine qui s'affirme et à laquelle l'industrie du pays offre de larges débouchés.
La foire internationale de New York ouvre ses portes en avril 1939 pour célébrer la confiance regagnée après des années de crise, les designers américains sont à l'honneur dans cette exposition universelle qui accueille - avec un sens du temps malheureux - « le monde de demain ». Lorsqu'elle ferme ses portes la Seconde Guerre mondiale a éclaté et les efforts des designers pour rendre le monde un peu plus beau, un peu meilleur, sont relégués au second plan.
Après-guerre et design organique [modifier]
La Tulip Chair d'Eero Saarinen, 1956
La période d'après-guerre que Penny Sparke appelle le néomodernisme présente une large adoption par les designers des deux bords de l'Atlantique de formes fluides, rondes, souples et qui vaut au design d'être qualifié d'« organique ».
Alvar Aalto instaure dans ses réalisations de mobilier le procédé du lamellé collé de bois déjà utilisé dans l'urbanisme, sans cesser d’appartenir à l’architecture dont l’échelle d’intervention varie de l’élément de mobilier, de construction ou de décor, jusqu’à la ville entière.
L’architecture désigne également le corpus de tous les édifices construits, leur classification et leur étude, qu’ils aient été conçus par des architectes ou non.
Par extension, le terme d’architecture est utilisé pour désigner la conception des systèmes d’objets complexes, comme par exemple l’architecture logicielle et l’architecture informatique. Dans ce cas, on fait référence à la structure générale du système.
">architecture depuis le début du XXème. Au niveau des matériaux, le tube d'acier, omniprésent dans le design des années 1930, se voit remplacé par les plastiques. De Scandinavie viennent aussi Arne Jacobsen et sa fameuse chaise Fourmi ou son fauteuil Œuf, Eero Saarinen et sa chaise Tulipe alors que les formes totalement organiques du terminal TBWA de l'aéroport international John-F.-Kennedy (1956-1962) séduisent le public. Le céramiste et verrier Kaj Franck, l'ébeniste Hans Wegner, le touche-à-tout Tapio Wirkkala complètent la série de l'éclosion artistique scandinave.
Parmi les designers de cette époque phare - les fifties américaines battent leur plein - mentionnons les Américains Charles et Ray Eames ou George Nelson. Eliot Noyes, actif auprès d'IBM, donne une forme organique et sympathique aux machines à écrire produites pour la bureautique - on lui doit aussi le pavillon IBM lors de l'Expo 1964 à New York.
les Italiens Gio Ponti, Carlo Molino, Marcello Nizzoli accompagnent le boom de l'industrie italienne de l'après-guerre et créent les icônes de La Dolce Vita : vespa, machine à expresso, belles carosseries, etc. On doit à Flaminio Bertoni les lignes des Citroën depuis la Traction Avant en passant par la 2CV jusqu'à la DS.
En Allemagne, la tradition artistique issue du Bauhaus renait avec la Hochschule für Gestaltung Ulm. Parmi les designers allemands de cette période, citons Hans Gugelot, Dieter Rams prend la direction artistique des produits Braun GmbH.
Au Royaume-Uni, Ernest Race crée un style « moderne », l'équivalent pour le design du New Look de Christian Dior, immédiatement repris dans toute l'Europe. Robin Day et sa femme Lucienne, nous ont laissé des textiles au style fifties immédiatement reconnaissables. Douglas Scott dessine le bus rouge à impériale, devenu depuis l'une des icônes anglaises.
Le Japon, autres puissances industrielles de cette époque, ne nous ont pas laissé de designer de premier plan mais le design, anonyme, produit par les équipes de sociétés comme Sony témoigne d'un fort professionnalisme dans ce pays.
Le design et l'architectureLa frontière peut paraitre floue entre design et architecture : Le Corbusier, Eero Saarinen n'ont pas dédaigné dessiner des meubles, Philippe Starck a dessiné plusieurs maisons et immeubles. En réalité, cette différence n'est pas dans la finalité typologique mais dans le processus de création.
Le design en tant que l'un des arts appliqués se définit comme une activité créative s'exerçant en aval d'un projet d'architecture pour concevoir l'aménagement de l'espace domestique. Les zones fonctionnelles sont prédéfinies par l'architecte : cuisine, salon, chambre, etc., et le designer s'adapte.
Le design en tant que discipline autonome (depuis 1968) consiste à penser le quotidien, à œuvrer pour un épanouissement de chacun, dans un mouvement crescendo de l'individu jusqu'aux formes urbaines. Le design et le marketing
Selon certaines théories, le design est une démarche stratégique opposée à celle du marketing. Elle ne tient pas compte des panels de consommateurs et des cibles potentielles. Le design s'adresse à tous en privilégiant le sens et l'évidence de la production d'objets ou de services.
Dans la réalité, le design est très largement lié au marketing dont il peut exploiter les données.
Le design et la théorie
« Le design est une activité liée à une pensée complexe et à une logique originale où la recherche esthétique s'associe aux stratégies industrielles et où la technologie n'est qu'une partie d'un vaste contexte symbolique. Les rapports entre l'art et le design sont beaucoup plus difficiles à mettre en théorie, en raison de leur caractère spontané et discontinu. Il fut un temps où l'on considérait que l'art générait de nouveaux langages tandis que le design les utilisait. Aujourd'hui nous assistons au phénomène inverse... » Andrea Branzi
« Le designer est un inventeur de scénarios et stratégies, Ainsi, le projet doit s'exercer sur les territoires de l'imaginaire, créer de nouveaux récits, de nouvelles fictions, qui viendront augmenter l'épaisseur du réel » Andrea Branzi, La casa calda, Paris, Éditions de l'Équerre, 1985
« La fonction de destruction, la fonction de mort, sont fondamentales et notre société l'a oublié. Il ne suffit pas de produire des objets qui servent, il faut produire des objets qui sachent mourir, pour rétablir l'ordre symbolique. Toute discipline ne s'accomplit que si elle se dessaisit de son objet et met en jeu sa propre mort. C'est dans cette voie que, paradoxalement, le design peut trouver le sens du symbolique. » Jean Baudrillard, extrait du texte le crépuscule des signes, Traverses, n°2, 1975.
« La mise en œuvre du matériau est conditionnée dans la technique par une longue tradition. C'est pourquoi la formation technique consiste généralement en une transmission et une acceptation, de méthodes achevées de travail. Une telle formation ne libère pas la créativité, elle empêche l'invention. » Josef Albers
« On ne pourra bien dessiner le simple qu'après une étude approfondie du complexe. » Le Nouvel Esprit scientifique, Gaston Bachelard.
* Roland Barthes, Mythologies, 1957
* Jean Baudrillard, Le système des objets, 1968
* Walter Benjamin, L'œuvre d'art à l'époque de sa reproductibilité technique
* Andrea Branzi, La casa calda
* Michel de Certeau, L'invention du quotidien
* François Dagognet, Pour l'art d'aujourd'hui, l'invention de notre monde, éloge de l'objet
* André Leroi-Gourhan, Le geste et la parole
* Pierre Francastel, Art et technique
* Martin Heidegger, Essais et conférences, (comprenant la question de la technique)
* Ezio Manzini, La matière de l'invention
* Victor Papanek, Design pour un monde réel
* Georges Perec, Les choses, espèces d'espace
* Gilbert Simondon, Du mode d'existence des objets techniques
La formation au design en France
Le design est très souvent rattaché à un domaine d'activité. Il est soit absorbé soit sectorisé et les formations en sont très révélatrices.
D'un point de vue administratif, il n'existe pas de titre designer tout comme D.P.L.G. en urbanisme, sans cesser d’appartenir à l’architecture dont l’échelle d’intervention varie de l’élément de mobilier, de construction ou de décor, jusqu’à la ville entière.
L’architecture désigne également le corpus de tous les édifices construits, leur classification et leur étude, qu’ils aient été conçus par des architectes ou non.
Par extension, le terme d’architecture est utilisé pour désigner la conception des systèmes d’objets complexes, comme par exemple l’architecture logicielle et l’architecture informatique. Dans ce cas, on fait référence à la structure générale du système.
">architecture, et chacun peut exercer sous le titre de designer.
Le design dans les écoles d'ingénieurs
Depuis peu, les écoles d'ingénieurs intègrent la notion de design au sens de valeur ajoutée à la conception de produit. La conception de produit se traduit d'ailleurs par design en anglais. Cette spécificité française marque la différence pour ce qu'on peut qualifier de design d'ingénieur. Le Conservatoire national des arts et métiers et l'IUP Génie des Systèmes Industriels d'Evry forment à une démarche de conception innovante impliqué tout au long du projet où le design est une valeur ajoutée à un produit industriel. Depuis la rentrée scolaire 2007, l'UTBM (Université technologique de Belfort-Montbéliart, habilité par la CTI pour délivrer des diplômes d'ingénieur) a ouvert le département EDIM (Ergonomie Design Ingénierie Mécanique) formant des ingénieurs dans ce domaine.
Le design dans les écoles d'architectures intérieures [modifier]
Nommé parfois design d'espace, c'est le design d'aménagement intérieur. Les agences d'architectures proposent de plus en plus souvent la conception du mobilier pour intégrer le cadre architectural qu'ils ont créés. Certaines écoles d'architectures proposent désormais des options design.
Le design dans les écoles d'arts
Historiquement rattaché aux métiers du bois, de la tapisserie, de la mode, des arts décoratifs : des écoles comme l'École nationale supérieure des arts décoratifs, mais aussi l'Esad Reims, l'École Boulle, etc., offrent une formation au design. Rapport davantage serré avec l'art contemporain pour d'autres. Avec un post-diplôme : « Design et Recherche » à École supérieure art & design de Saint-Étienne
Le design comme création industrielle
Le design, en ce sens, doit être un outil d'action, de déformation, et de transformation du monde réel. Les échanges avec des laboratoires de recherches, d'écoles doctorales et partenaires industrielles sont fréquents. Les Ateliers / École nationale supérieure de création industrielle à Paris créer en 1982 dans le sillage du CCI du Centre Pompidou.
Source : fr.wikipedia.org
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